Comme j’ai fait campagne à travers la Colombie-Britannique au cours des dix derniers jours, dans les parcs publics et sur les appels Zoom, j’entends les Verts que notre parti a besoin d’un type unique de leadership.
1. Unité:
Nous avons besoin d’un chef qui est capable de rassembler les autres candidats à la chefferie, former une équipe de concurrents, et générer une culture positive et gagnante au sein du parti. Je comprends l’origine des défis et des désaccords au sein du Parti vert, grâce à mon expérience unique au sein du Parti comme le seul candidat à la chefferie qui a fait campagne de l’Atlantique au Pacific sur des campagne gagnantes pour le Parti vert. Et j’ai aussi la capacité de relever ces défis et résoudre ces désaccords grâce à mon expérience professionnelles en règlement des différends.
2. Expérience:
Nous voulons un chef qui possède une expérience unique, nécessaire à la transformation du Parti vert comme force politique compétente en politique canadienne. En outre, je suis le seul candidat ayant:
- la capacité de faire campagne partout au Canada de façon crédible dans nos deux langues officielles. J’ai déjà gagné des votes sur le seuil des portes en anglais et en français au Nouveau-Brunswick, au Québec, et dans l’est de l’Ontario. Je suis la seule personne dans la course qui a déjà fait campagne aux épluchettes de blé d’Inde et aux guignolées du temps des fêtes – et j’ai hâte de répéter ces bonnes expériences comme chef du Parti vert.
- trente ans d’expérience dans tous les domaines de bénévolat en politique, incluant deux postes clés aux côtés d’Elizabeth May dans son Cabinet fantôme (comme responsable pour les questions reliés à la justice et à la réforme démocratique).
- vingt-huit ans d’expérience comme avocat et conseiller de ministres au sein de gouvernements conservateurs, libéraux et néo-démocrates, à Ottawa (au Ministère de la justice et au Bureau du Conseil privé) et à Victoria (au ministère du Procureur général).
Ce type d’expertise est particulièrement pertinent lorsque viendra le temps de relever les défis internes au sein du Parti vert. Nous avons besoin de transformer notre parti en une organisation gagnante qui est capable d’exiger que notre gouvernement rende des comptes à la Chambre des communes.
3. Possibilité de gagner au nom des Verts:
Nous voulons un candidat à la chefferie capable de gagner le siège dans la circonscription où il s’est présenté en 2019. (J’ai terminé deuxième dans Esquimalt-Saanich-Sooke avec 26 pour cent du suffrage.)
Bon nombre de candidats à la chefferie n’ont pas participé aux élections en 2019 ou même ne se sont jamais présentés pour les Verts. Comme leader qui est capable de gagner ma propre circonscription, je pourrai libérer des ressources pour aider d’autres candidats à travers le Canada dans leurs circonscriptions.
J’appuie corps et âmes les politiques du Parti vert, comme, par exemple:
- Un plan d’action sur le climat avec des objectifs clairs et des échéanciers fixes;
- Un revenu vivable garanti;
- Un plan d’éthique et d’intégrité au sein du gouvernement, incluant la représentation proportionnelle.
- L’équité pour les personnes marginalisées de manière systémique dans notre société à cause de défis liés à la pauvreté, à l’itinérance, à la toxicomanie, à la santé mentale ou à leurs origines ethniques, linguistiques et culturelles.
En somme, le Parti vert a besoin de se reconstruire de A à Z. Comme chef, je vais écouter et appuyer les membres du Parti vert qui travaillent sur le terrain. Je m’engage à faire respecter les valeurs des Verts pour nos concitoyens et pour notre planète. Je vous offre l’unité, l’expérience et la possibilité de gagner.